la recette du journal
Pour déguster horsd’oeuvre digne de ce nom, rendez-vous dans lieu d’exposition. Chaque numéro est préparé autour d’un ingrédient en particulier, c’est pourquoi leur saveur est unique et toujours inédite. Un horsd’oeuvre se glisse partout, sac de course, cabas, attache-case, valise, il se savoure à toute heure, en tout lieu.
les ingrédients
le savourer encore et encore
Articles de la rubrique
Si vous souhaitez faire paraître vos expositions sur la quatrième de couverture du journal HORSD’OEUVRE, il vous suffit de nous faire parvenir les informations à savoir : le titre de l’exposition, les dates, le nom des artistes, horaires d’ouvertures et adresse du lieu d’exposition, le tout accompagné d’un chèque de 30 euros. Nous vous ferons parvenir des exemplaires du journal que vous pourrez diffuser auprès de votre (…)
Afin de financer en partie les frais d’impressions nous proposons aux différentes structures d’art contemporain en France d’annoncer leur actualité dans un agenda de page finale. En contrepartie nous leur envoyons le journal afin qu’elles le diffusent dans leur région. Le journal se trouve ainsi diffusé gratuitement dans de nombreux lieux en France. Voici la liste des principales structures soutenant le journal :
le lait, Albi
Crac Alsace, Altrich
Théâtre du Granit, Belfort
Le Pavé dans la Mare, (…)
L’appartement/galerie Interface est un espace d’exposition associatif qui depuis plus de 10 ans s’est lancé dans l’édition, en proposant horsd’œuvre, un journal gratuit d’art contemporain (tiré à 5000 exemplaires) distribué dans les différentes structures d’art en France. Le premier numéro d’horsd’oeuvre paraît donc en 1997. Le journal émane d’un désir de mettre en place des formes plus souples et conviviales pour présenter l’art contemporain et en faciliter l’accès. « Le titre retenu suggère une mise en (…)
Le premier numéro de horsd’œuvre paraît en 1997. Le journal émane de l’association Interface, née cinq ans auparavant d’un désir de mettre en place des formes plus souples et conviviales pour présenter l’art contemporain et en faciliter l’accès. Le titre retenu suggère une mise en appétit, une promesse alléchante de plaisirs partagés. Les délices et le sérieux ne sont pas incompatibles ; au sein de l’équipe il est de mise de les associer, c’est un principe, on s’y tient sans effort.
Le texte de lancement (…)